10/08/2010

Juste, 31 juillet 1929.


  
  
Un jour tu sais je t'aimerai très fort, ou peut-être pas. Je te regarde dans ton sommeil y compris quand tu n'es pas là. Je te sniffe et je n'écris plus, je ne chante que des mélodies tristes, j'envie celle qui dort avec toi. Peut-être est-elle sur le point de tout abandonner. Peut-être un matin la pluie t'aura-t-elle déposé sur mon balcon, tes yeux emplis de rosée, tes mains fines à tout casser. Simplement voulu t'avoir, te voir, et te croire.